Cultiver en plein ville
Les champs sont des maux pour la population.
Lors d’une visite dans quelques quartiers d’Ouagadougou, a été un cauchemar. Des quartiers envahis par des Champs entrainant des maladies et l’insécurité.
Ouagadougou est la capitale du Burkina Faso, la première ville. Jusqu’à présent certaines mentalités n’ont pas changé d’autres se croiraient toujours au village. Pendant l’hivernage certains ont récolté dans leur cour où dans les environnants du quartier. Le quartier ouaga 2000 qui est un quartier chic là aussi les gens cultivent . Souvent ses récoltes sont insignifiantes. Quand Simon Compaoré était le maire de la Commune de Ouagadougou un jour a dit à la population que la ville n dans son village ». Cet adage interpelle aussi les cultivateurs en ville n’est pas faite pour tout le monde que celui qui ne pas respecte pas les conditions qu’il y retourne. Cela entraine des maladies et même leur propre insécurité.
Les problèmes causés par cette pratique
Un habitant de Pissy a rencontré ses mésaventures avec ces champs dans son quartier « un jour je revenais de la ville vers 19h30 un voleur s’est servi du champ pour m’agresser. Ma chance j’ai crié il s’est sauvé en se cachant dans le champ. Des voisins sont sortis détruire le champ en disant au propriétaire « il ne faudra pas à cause de quelques tines de maïs, on met nos vies en danger.». A Samendin un habitant a expliqué son vécu « nous sommes malades du paludisme, bien vrai que nous dormons sous des moustiquaires mais en étant à la maison les moustiques piquent avec ces fameux champs ont des moustiques permanent jusqu’a la fin des récoltes. Au sien du quartier ces champs sont parfois utilisés par des riverains pour satisfaire leur besoin ou d’autres font l’amour là bas. » Devant Pissy un, habitant nous dit « je ne sais pas pourquoi l’Etat n’empêche pas ces personnes qui pourrissent la vie de leur voisinage. Nous n’avons pas à dire, si on parle qu’il nous traite de jaloux ». Il a dit encore « nous avons vu une fille, qui a été violée dans ses soit disant champs. C’est très douloureux pour la fille ce jour là. Ce champ a été brulé le propriétaire nous a maudit que Dieu nous châtiera parce que nous savons détruire de la nourrir. » Les cultivateurs comme Tanga à pissy a dit « ces récoltes m’aident un peu c’est pour cela plupart des gens sèment dans leur cour ou devant la porte. Même s’il y’a des inconvénients c’est difficultés pour nous d’arreter.