Afrique verte
Les transformatrices de l’Afrique Verte
L’Afrique Verte a donné un grand soutien à ces femmes transformatrices des produits locaux.
Chaque femme faisait ses transformations en fonction de ses moyens sans vérifier la qualité de leurs produits au Laboratoire National, avec l’arrivée de l’Afrique Verte en 2007 a réussi à réunir les femmes. L’Afrique Verte a permis à ses femmes à être formées sur le plan national et international. Pour les plats consistants, nous avons le couscous de maïs, de mil, de riz, de soja et le fonio précuit ou non précuit, vermicelles d’igname. Il y’a plusieurs sorte de grumeaux de bouillie en mil, en sorgho blanc et jaune, en fonio, en maïs, en riz ; les desserts les grumeaux de dégue à base de mil, de patate, de fonio, de mangue ; les Biscuits à base de pain de singe, de sorgho, maïs, de sorgho, de maïs, de patate, d’igname, de manioc, de Moringa, de sésame et les boissons, les grumeaux à base de bissap, de tamarin, de citron, de gingembre ,de liane.la présidente des femmes de l’Afrique verte de la section de bobo Mme Catherine Gnoula/ Bambara , a dit dans son interview « l’Afrique Verte a pu nous réunir et aussi nous avons été formées pour bien améliorer et donner une valeur suffisante à nos produits, il y’ a eu la formation en gestion marketing et la bonne pratique de l’hygiène. Nous avons été subventionnés au début, cela nous a permis d’acheter les petits matériels de transformation, au niveau des institutions financières , l’Afrique Verte est un garant pour l’octroi des crédits ,ce qui n’est pas une chose facile. Pendant le mois de jeûne, la bouillie ne suffit plus, le fonio ne suffit aussi parce que nous arrivons à bien laver le fonio sans cailloux. Nous employons des femmes qui travaillent avec nous et nos produits sont contrôlés au laboratoire national. Nos produits sont vendus dans les supers marchés.»
Wend-mi Guaelle D .A OUEDRAOGO